Véritable catastrophe pour les utilisateurs, la perte des données d’un disque dur entraîne de fâcheuses conséquences. En termes de confidentialité et de coûts, celle-ci reste en effet catastrophique. Fichiers personnels, vidéos, photos, musiques ou dossiers privés : une récupération de données peut néanmoins être envisagée. Par le biais de logiciels spécialisés, gratuits ou payants, ou en recourant aux services de professionnels : vous disposez de solutions adaptées.

Des supports et périphériques de stockage différents

Vous souhaitez restaurer des fichiers et les récupérer ? Afin de procéder à une récupération de données Seagate, divers moyens peuvent être employés. Parce que votre périphérique de stockage peut être de différent type, il convient d’abord de détecter la panne et les éventuelles erreurs. Suite à une manipulation intempestive de votre disque dur interne ou externe, une chute, une attaque de virus ou tout simplement après avoir malencontreusement effacé vos fichiers : la tentative de récupération de données Seagate est indispensable. La première étape est de détecter votre matériel et l’ensemble de vos périphériques de stockage. Clés USB, cartes mémoire SD, disques durs internes de type HDD 3,5″ ou disques durs SSD M2 et NVME de dernière génération : tous les matériels ne répondent pas aux mêmes normes. Pour une récupération de données Seagate optimale et selon votre système d’exploitation, il faut savoir aussi distinguer entre un PC portable et un ordinateur de bureau.

Le démontage d’un disque dur de laptop nécessite un outillage adapté et est bien plus compliqué que sur un desktop. Lorsque cela est nécessaire, il reste en effet simple et rapide de débrancher un disque dur interne d’une tour. En tant qu’utilisateur de votre PC, vous avez sûrement eu le choix entre plusieurs types de disques durs. Que vous ayez acheté votre ordinateur de bureau ou un portable déjà prêt à l’emploi, monté et configuré ou que vous possédiez un ou plusieurs autres supports de stockage : 2 catégories principales de disques durs existent.

  • Le disque dur standard HDD de 3,5 pouces
  • Le disque dur SSD

Savoir reconnaitre un disque dur

Même si les disques durs internes des ordinateurs portables sont au format 2,5 pouces, ils entrent dans la catégorie des modèles classiques HDD (hard disk drive) ou SSD (solid state drive). Le disque HDD est historiquement le plus ancien et est un périphérique mécanique. Composé de plateaux et de têtes de lecture et d’écriture, le HDD possède une interface IDE, SCSI ou SATA pour connecter le disque dur. Les interfaces SATA sont les plus récentes et se sont largement imposées depuis le temps. Le SATA III (ou SATA 6Gb/s), est en effet aujourd’hui la norme et équipe une grande majorité des interfaces des disques durs. Pratique et simple à brancher, à alimenter et à reconnaître dans le Bios de votre ordinateur, le disque dur HDD en SATA III possède néanmoins une durée de vie limitée.

Plus économiques que les supports SSD et dotés de très larges capacités de stockage (jusqu’à 18 To de données !), ceux-ci restent cependant plus fragiles et s’usent avec le temps. Il peut alors arriver que suite à un choc ou à des accès trop fréquents aux données d’un disque en écriture et en lecture, ce disque HDD dysfonctionne et ne veut plus répondre. Lorsque c’est le cas, il vous faut ensuite vérifier que le support de stockage n’est pas endommagé. Un disque dur physique HS est difficile à réparer et nécessite impérativement l’intervention de professionnels de la récupération et de l’informatique. Le disque dur SSD, plus récent que le HDD est, lui, un périphérique qui ne contient pas de composants mécaniques sujets à l’usure. Le SSD Seagate utilise des cellules mémoires flash, qui sont des semi-conducteurs. Bien plus résistants dans le temps et surtout bien plus performants, les SSD s’imposent peu à peu sur le marché informatique.

Grâce à des temps d’accès réduits et surtout des vitesses de lecture et d’écriture sans commune mesure avec les HDD (près de 150 fois plus rapides), les disques durs SSD peuvent aussi tomber en panne. Les interfaces M2 et NVME sont les principales sources de connexion des SSD. Là aussi, un SSD est facile d’accès afin de contrôler si le support de stockage est bien branché et correctement alimenté. Si généralement les utilisateurs privilégient l’utilisation de disques HDD plus économiques pour stocker les fichiers les plus importants, le SSD Seagate est, lui, utilisé pour le système d’exploitation et les programmes. Comme les vitesses de transfert sont nettement supérieures aux HDD, même les plus performants, ces SSD sont aussi plus fiables grâce à l’absence de composants mécaniques. Plus fragiles cependant, il convient de faire attention aux broches si vous êtes amené à les manipuler. Pour une récupération données Seagate des fichiers supprimés : le plus simple reste d’utiliser le meilleur logiciel de récupération possible. Voici une liste exhaustive des programmes disponibles gratuitement ou qui proposent une version payante plus complète de récupération :

Des logiciels où il suffit de cliquer sur un bouton récupérer !

  • Wondershare Recoverit
  • Recuva
  • Disk Drill
  • Stellar Data Recovery
  • Ontrack EasyRecovery
  • Minitool Data Recovery
  • Recover My Files
  • ApowerRecover

Disposant peu ou prou des mêmes options et fonctionnalités, ces logiciels de récupération Seagate proposent un système de filtrage et une récupération automatique des données d’un disque selon le type de fichier du disque. Il suffit en général de cliquer sur le bouton récupérer ou réparer le disque. Même si les données et fichiers effacés ne sont pas tous récupérables selon leur ancienneté, une grande partie de ces données peut néanmoins être récupérée et restaurée. Grâce à une récupération Seagate automatique dans un laps de temps plus ou moins long établi par la capacité de votre disque dur, ces programmes sont d’une utilisation simple. Les débutants et néophytes en informatique peuvent facilement s’y retrouver parmi les paramètres de navigation. Fichiers du disque corrompus, infections par un virus, un trojan ou un cheval de Troie, un malware ou suppression intempestive de données personnelles : le logiciel de récupération Seagate reste le moyen le plus simple et économique de récupérer les données perdues.

Effectuez des sauvegardes et tentez une restauration système

Parce que vos documents personnels et confidentiels doivent à tout prix être protégés, n’hésitez pas à effectuer des sauvegardes régulières. Sur n’importe quel type de périphérique de stockage externe ou interne, il est en effet préférable de sauvegarder vos dossiers les plus précieux. Vous souhaitez restaurer des données du disque dur externe Seagate ? Une fonction data recovery est alors souvent implantée dans le programme d’installation et les pilotes de votre disque dur. Les modèles externes Seagate disposent tous aujourd’hui de fonctionnalités permettant de sauvegarder et de récupérer des fichiers et dossiers. Si vous ne savez pas sur quelle partition vous avez sauvegardé vos fichiers, dossiers et autres données, une simple recherche vous permet de les localiser.Si vous constatez qu’ils n’existent plus et qu’ils ont été effacés, récupérez les fichiers perdus en recourant aux services de professionnels de l’informatique. Ces experts disposent d’outils puissants et performants leur permettant la récupération de disques Seagate même longtemps après un formatage. Windows, MacOs ou Linux : un disque dur interne ou externe doit faire l’objet de vérifications régulières. Tous ces OS disposent de fonctions de restauration des données d’un disque dur, de point de restauration ou de sauvegarde automatique des données à une date précise. N’hésitez pas à les utiliser et si vous ne parvenez pas à récupérer vos fichiers : pensez au recours à des spécialistes de la récupération ou utilisez un programme de données du disque dur externe Seagate.